
Sur le chemin du retour, je me disais que je pourrais échanger le «une semaine» formelle avant de pouvoir être dans le salon avec nous à 2-3 jours. Je commençais à trouver qu'elle faisait un peu pitié ma pauvre puce.
En arrivant, je sors les chiens et je retrouve le dite puce... Complètement cinglée. Et je me rappelle pourquoi on en est là. Pas question de changer de programme.
C'est exténuant tout ça. Je ne peux pas juste nourrir les chiens dans leur bol et aller m'écraser devant mon film. Faut s'occuper de la petite chose qui ne peut pas vagabonder et courir à sa guise. C'est donc ma responsabilité de la dépenser un peu de ne pas l'isoler. Nous avons donc fait une belle séance de tug-coq où elle a eu deux time-out avant de finir ça en beauté avec une joute d'enfer.
Je dois aussi la nourrir à la main. On a pratiqué nos exercices de Crate Games et travailler notre contact visuel ce soir.
Et comme c'est rendu une habitude, on travaille sur le silence en cage en écrivant mon blog assise juste à côté. On fait des progrès. Naboo accepte maintenant de gruger des os dans sa cage. Ce qu'elle avait toujours refusé (par stress, j'imagine).
Aujourd'hui, j'ai failli relâcher et je sais que je l'aurais regretté. C'est beaucoup de travail, mais dans quelques mois, Naboo et moi marcheront main dans la patte. Persévérer mène toujours plus loin que d'abandonner.
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